J’aime le ton de votre lettre que je lis depuis un bon moment.
Je comprends parfaitement votre décision d’arrêter : la lourdeur de sentir « l’obligation » de faire quelque chose.
Je crois que c’est ce qui me pèse le plus aujourd’hui : je n’arrive pas à me projeter dans un métier où très vite je ferai toujours la même chose (pfffff quel ennui !!)
Pas le choix ?!
J’aime le ton de votre lettre que je lis depuis un bon moment.
Je comprends parfaitement votre décision d’arrêter : la lourdeur de sentir « l’obligation » de faire quelque chose.
Je crois que c’est ce qui me pèse le plus aujourd’hui : je n’arrive pas à me projeter dans un métier où très vite je ferai toujours la même chose (pfffff quel ennui !!)
Aller dans le sens contraire de ta démarche avec tes clientes serait une aberration.
Alors l'aventure c'est l'aventure, je pense que nous retrouverons ta plume différement mais surement.